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L'autocompassion joue un rôle crucial dans la façon dont nous nous percevons et dont nous faisons face à nos défis. Les thérapeutes de Lavendla peuvent vous aider à développer l'autocompassion par le biais de conversations, d'exercices et de la pleine conscience.

Qu’est-ce que l’autocompassion ?

L’autocompassion consiste à être bienveillant et compréhensif envers soi-même, en particulier dans les moments difficiles. Il s’agit d’accepter que nous sommes humains et que les erreurs et les difficultés font partie de la vie. Mais c’est aussi un sentiment profondément ancré qui implique de se traiter avec la même gentillesse, la même attention et la même compréhension que l’on offrirait à un ami proche. C’est l’art d’être bienveillant envers soi-même, en particulier dans les moments d’échec ou de difficultés personnelles. Pour en savoir plus sur l’estime de soi en général, cliquez ici.

Comment devenir plus gentil avec soi-même ?

L’autocompassion repose sur trois éléments clés : la bienveillance, l’humanité commune et la pleine conscience.

Labienveillance consiste à être doux et compréhensif envers soi-même plutôt que dur et autocritique.

L’humanité commune reconnaît que la souffrance et les échecs personnels font partie de l’expérience humaine que tout le monde partage, ce qui nous aide à nous sentir moins isolés dans nos difficultés.

Lapleine conscience consiste à garder ses émotions en équilibre et à ne pas s’y identifier de manière excessive.

En adoptant ces aspects, les individus peuvent développer une relation plus saine avec eux-mêmes, ce qui contribue à réduire l’anxiété et la dépression et à favoriser un meilleur bien-être émotionnel.

Ce qui a distingué notre thérapeute, c’est son empathie sincère et sa perspicacité. Non seulement elle possédait une connaissance approfondie de la neurodiversité, mais elle a également partagé des expériences personnelles qui ont trouvé un écho chez nous, ce qui a créé une connexion instantanée et favorisé un sentiment de confiance !

Benedetta Osarenk

L’autocompassion n’est-elle pas de l’apitoiement sur soi ?

Non, il ne faut pas confondre l’autocompassion avec l’apitoiement sur soi ou l’égocentrisme ; il ne s’agit pas de victimisation ou d’égoïsme. Il s’agit plutôt de cultiver une attitude de compréhension et d’absence de jugement à l’égard de nos propres expériences, et de prendre conscience de l’expérience humaine commune, faite de joie et de tristesse.

Exercices pour développer l’autocompassion

Pour cultiver et renforcer l’autocompassion, il est important d’intégrer des exercices de pleine conscience dans la vie quotidienne. Ces exercices sont conçus pour accroître progressivement notre capacité à nous approcher de nous-mêmes avec bienveillance, compréhension et acceptation.

Traitez-vous comme les autres

Un exercice de base consiste à s’arrêter régulièrement et à se demander “Comment traiterais-je un ami qui se trouve dans cette situation ?”, puis à appliquer la même gentillesse et la même considération à soi-même.

Tenir un journal de gratitude

Un autre exercice efficace consiste à tenir un journal de gratitude, en notant les choses que vous appréciez chez vous ou les actions positives que vous avez entreprises.


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La pleine conscience

Les exercices de pleine conscience, tels que la respiration attentive et le balayage du corps, aident à prendre conscience des sentiments actuels sans les juger, ce qui est un élément central de l’autocompassion. Les méditations ciblées, souvent guidées, peuvent également être un moyen efficace d’attirer l’attention et la bienveillance sur soi. Ces méditations peuvent inclure des visualisations au cours desquelles vous imaginez que vous envoyez de l’amour et de la gentillesse à vous-même et aux autres.

Écrire des lettres

Écrire des lettres d’autocompassion à soi-même, en particulier dans les moments difficiles, est une autre technique pour renforcer les sentiments positifs de conscience de soi.

Développer un dialogue intérieur compatissant

Enfin, il est important de se rappeler que personne n’est parfait et que les erreurs et les difficultés font partie de l’expérience humaine, une idée centrale dans la pratique de l’autocompassion. En vous livrant régulièrement à ces exercices, vous pouvez progressivement développer un dialogue intérieur plus compatissant et améliorer votre bien-être émotionnel général.

Exercices à faire dès aujourd’hui

  • Rédigez un journal amical : Notez chaque jour trois choses où vous vous êtes traité avec gentillesse.
  • Exercice de pleine conscience : Soyez présent dans l’instant. Prenez quelques minutes par jour pour “être”.
  • Notez ce dont vous êtes reconnaissant : Utilisez votre journal de la gentillesse pour noter les choses que vous appréciez, à la fois chez les autres et en vous-même.

Autocompassion et psychologie

Si les défis liés à l’autocompassion vous semblent insurmontables, il peut être utile de consulter un psychologue. Il peut vous offrir des conseils et un soutien professionnels pour vous aider à aller de l’avant.

L’autocompassion au quotidien

Voici quelques conseils pour renforcer l’autocompassion au quotidien :

  • Soyez gentil avec vous-même : Traitez-vous comme vous traiteriez un bon ami.
  • Réfléchissez à vos progrès : Reconnaissez et célébrez vos progrès, aussi minimes soient-ils.
  • Pratiquez la gratitude : Concentrez-vous sur les aspects positifs de votre vie et soyez reconnaissant.

Prochaines étapes

Le développement de l’autocompassion est un voyage qui demande du temps et de la patience. Rappelez-vous qu’il s’agit d’un processus et que chaque pas en avant est précieux. Si vous avez du mal à améliorer votre dialogue intérieur ou si vous souhaitez que quelqu’un vous soutienne dans votre démarche, prenez rendez-vous pour une première séance avec l’un de nos thérapeutes. Ils seront heureux de vous aider en vous donnant plus d’informations sur les exercices, en discutant de votre auto-compassion et de la manière dont vous pouvez la développer pour devenir plus compatissant et plus équilibré.


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24 questions courantes sur l’autocompassion

Qu’est-ce que l’autocompassion ?

L’autocompassion est la capacité à être gentil et compréhensif envers soi-même, en particulier dans les moments difficiles. Elle implique de se traiter avec la même attention et la même compréhension que l’on traiterait un bon ami et comprend trois composantes principales : la bienveillance à l’égard de soi, la communauté d’humanité et la pleine conscience. Ces aspects aident les individus à reconnaître leurs défauts et leurs insuffisances sans être trop durs avec eux-mêmes.

Comment développer une meilleure autocompassion ?

Le développement de l’autocompassion peut commencer par quelques étapes simples :
Pratiquez l’autocompassion : Soyez bienveillant et compréhensif envers vous-même lorsque vous êtes confronté à des difficultés.
Connectez-vous avec les autres : Rappelez-vous que tout le monde a des défauts et que nous ne sommes pas seuls à vivre nos expériences.
Pratiquez la pleine conscience : Soyez conscient de vos sentiments et de vos pensées sans les juger.
Journal : Réfléchissez à vos expériences et à vos sentiments.
Cherchez du soutien : Parlez de vos sentiments et de vos expériences à vos amis, à votre famille ou à un professionnel.

Quel est l’effet sur le cerveau lorsque nous faisons preuve d’autocompassion ?

Lorsque nous pratiquons l’autocompassion, les parties du cerveau associées aux émotions positives et à l’empathie sont activées. Cela peut réduire le stress et augmenter notre bien-être émotionnel. Les recherches montrent que l’autocompassion peut faire baisser le taux de cortisol (l’hormone du stress) et augmenter l’activité des systèmes de soins et de confort de notre cerveau, ce qui procure un sentiment de calme et de sécurité.

Que signifie l’autocompassion en suédois ?

Self compassion” est l’expression anglaise pour “auto-compassion”. Il s’agit d’un concept qui souligne l’importance d’être bienveillant envers soi-même, en particulier dans les situations difficiles, et de se traiter avec la même compassion que celle que l’on montrerait aux autres.

Peut-on pratiquer l’autocompassion ?

Oui, il est tout à fait possible de pratiquer l’autocompassion. Cela peut se faire par le biais de divers exercices et techniques, tels que :
Méditations d’autocompassion : Il existe des méditations guidées spécialement conçues pour renforcer l’autocompassion.
Affirmations : Affirmations positives répétées pour renforcer les pensées d’autocompassion.
Réflexion : Réfléchir régulièrement à ses actions et à ses sentiments peut accroître la prise de conscience et donc l’autocompassion.
Thérapie : Une aide professionnelle peut s’avérer efficace pour développer une compréhension et une pratique plus approfondies de l’autocompassion.
En pratiquant et en intégrant ces pratiques dans la vie de tous les jours, on peut progressivement améliorer l’autocompassion.

Existe-t-il des avantages scientifiquement prouvés de l’autocompassion ?

Oui, plusieurs études scientifiques ont démontré les bienfaits de l’autocompassion. Ceux-ci comprennent la réduction de l’anxiété et de la dépression, l’amélioration de la santé mentale, l’augmentation de la résilience au stress et l’amélioration du bien-être émotionnel. Il a également été démontré que l’autocompassion améliore les relations avec les autres et augmente la capacité à faire face aux défis de la vie d’une manière plus saine.

En quoi l’autocompassion diffère-t-elle de l’estime de soi ?

L’autocompassion et l’estime de soi sont des concepts liés mais distincts. L’estime de soi est généralement liée à la façon dont nous nous estimons, qui peut être basée sur nos réalisations ou sur la façon dont nous nous comparons aux autres. L’autocompassion, en revanche, est davantage liée à la manière dont nous nous traitons, en particulier lorsque nous sommes confrontés à des difficultés ou à des échecs. L’autocompassion implique une attitude constante et bienveillante à l’égard de soi-même, quelles que soient les circonstances extérieures.

L’autocompassion peut-elle améliorer la santé physique ?

Absolument. L’autocompassion sur le lieu de travail peut conduire à une meilleure gestion du stress, à une résilience accrue et à de meilleures relations avec les collègues. Elle peut également favoriser un environnement de travail plus positif et améliorer les performances professionnelles, car les personnes qui pratiquent l’autocompassion ont tendance à moins craindre l’échec et sont plus susceptibles d’apprendre de leurs erreurs.

Est-il possible d’être trop compatissant ?

L’autocompassion est une approche équilibrée de la prise en charge de soi. Être trop compatissant, dans le sens d’éviter toute gêne ou responsabilité, n’est pas la même chose que la véritable autocompassion. La véritable autocompassion consiste à reconnaître et à gérer les émotions ou les situations difficiles d’une manière saine, et non à les éviter complètement.

L’autocompassion peut-elle aider à lutter contre l’anxiété sociale ?

Oui, la recherche suggère que l’autocompassion peut être un outil efficace pour traiter l’anxiété sociale. En étant plus compréhensifs et moins critiques envers eux-mêmes, les individus souffrant d’anxiété sociale peuvent se sentir plus à l’aise dans les situations sociales et moins inquiets du jugement des autres. Cela peut conduire à une réduction des symptômes d’anxiété et à un sentiment accru d’appartenance et d’acceptation.

L’autocompassion peut-elle conduire à l’apitoiement sur soi ?

L’autocompassion est en fait le contraire de l’apitoiement. Alors que l’apitoiement se concentre sur sa propre souffrance de manière exagérée, l’autocompassion consiste à se confronter à sa propre souffrance de manière saine et équilibrée. Comme l’autocompassion encourage une vision objective et bienveillante des difficultés, il devient plus facile de les gérer plutôt que de les exagérer.

Comment l’autocompassion affecte-t-elle les relations avec les autres ?

Voici quelques façons de pratiquer l’autocompassion au quotidien:u003cbru003eu003cbru003ePrenez conscience de votre discours intérieur : Remarquez quand vous vous auto-critiquez et essayez de remplacer ces pensées par des déclarations plus aimables et encourageantes.u003cbru003ePrise des pauses : Autorisez-vous à faire des pauses et à vous reposer lorsque vous en avez besoin.u003cbru003eEvaluez vos besoins : Demandez-vous ce dont vous avez besoin pour vous sentir bien et essayez de répondre à ces besoins.u003cbru003eCélébrez les petits succès : Reconnaissez vos efforts, et pas seulement vos réussites.u003cbru003eExercices de respiration et de pleine conscience : Ces techniques peuvent vous aider à rester ancré et présent, ce qui est important pour l’autocompassion.

L’autocompassion est-elle particulièrement importante pendant les crises ou les périodes difficiles ?

Oui, l’autocompassion peut être particulièrement utile dans les moments difficiles ou les crises. Elle aide à gérer le stress et l’anxiété, offre un soutien émotionnel à soi-même et facilite la gestion des situations difficiles. L’autocompassion peut agir comme une ressource intérieure qui apporte force et résilience.

L’autocompassion peut-elle améliorer la santé physique ?

La recherche suggère qu’il existe un lien entre l’autocompassion et la santé physique. La pratique de l’autocompassion peut réduire le stress, ce qui peut avoir des effets positifs sur la santé physique, tels qu’une baisse de la tension artérielle et une amélioration de la fonction immunitaire. En outre, les personnes qui font preuve d’autocompassion sont plus enclines à prendre soin de leur corps et de leur santé.

Comment l’autocompassion affecte-t-elle les relations avec les autres ?

L’autocompassion peut avoir un impact positif sur les relations. En étant bienveillant et compréhensif envers soi-même, on peut réduire la tendance à réagir de manière défensive et répondre aux autres avec plus de compréhension et d’empathie. Cela peut conduire à des relations plus saines et plus positives, tant sur le plan personnel que professionnel.

Existe-t-il des exercices pour développer l’autocompassion ?

Oui, il existe de nombreux exercices pour développer l’autocompassion. En voici quelques exemples :
Écrivez une lettre à vous-même : Écrivez une lettre dans laquelle vous exprimez votre compassion et votre compréhension pour une situation difficile que vous avez vécue.
Méditation : Utilisez des méditations guidées qui se concentrent sur la culture de la compassion envers vous-même.
Balayage méditatif du corps avec compassion : Effectuez un balayage corporel en vous concentrant sur l’envoi de bonté et de compassion dans chaque partie de votre corps.
Affirmations : Utilisez des affirmations positives qui renforcent l’autocompassion.

Comment maintenir l’autocompassion sous pression ?

Maintenir l’autocompassion sous pression peut être un défi, mais c’est possible en :
Vous rappeler que tout le monde fait des erreurs : Cela peut vous aider à voir la situation sous un angle plus réaliste.
Faites de courtes pauses : Éloignez-vous des situations stressantes pour rassembler vos pensées et vos sentiments.
Respirez profondément : La respiration profonde peut réduire le stress et vous aider à vous recentrer.
Fixez des attentes réalistes : Acceptez le fait que vous ne pouvez pas tout contrôler et concentrez-vous sur ce que vous pouvez influencer.

Quel rôle joue l’autocompassion dans le développement personnel ?

L’autocompassion est un élément important du développement personnel car elle encourage l’acceptation de soi et le développement personnel. Elle peut aider les individus à gérer les critiques de manière plus constructive, à prendre des risques pour atteindre leurs objectifs et à tirer des leçons de leurs échecs.

Comment les différences culturelles affectent-elles la perception de l’autocompassion ?

Les différences culturelles peuvent influencer la manière dont l’autocompassion est perçue et pratiquée. Dans certaines cultures, l’autocompassion peut être considérée comme égoïste ou comme un signe de faiblesse. En revanche, dans d’autres cultures, elle peut être encouragée comme un élément important du bien-être émotionnel. La compréhension de l’autocompassion doit être adaptée aux normes et valeurs culturelles.

L’autocompassion peut-elle améliorer la prise de décision ?

Oui, l’autocompassion peut influencer positivement la prise de décision en réduisant la peur de faire des erreurs. Elle peut encourager les gens à considérer les erreurs comme des opportunités d’apprentissage plutôt que comme des échecs, ce qui peut conduire à des décisions plus réfléchies et plus équilibrées.

Comment l’autocompassion peut-elle influencer la confiance en soi ?

L’autocompassion peut avoir un impact positif sur la confiance en soi. En se traitant avec gentillesse et compréhension, même dans les situations difficiles, une personne peut développer un sentiment d’estime de soi plus stable et plus résistant. La confiance en soi s’en trouve renforcée, car elle ne dépend plus de réussites ou d’affirmations extérieures.

Comment intégrer l’autocompassion dans votre quotidien ?

L’intégration de l’autocompassion dans la vie quotidienne peut se faire de plusieurs manières :
Commencez la journée par une affirmation positive : Consacrez quelques minutes chaque matin à la répétition d’une affirmation positive qui renforce l’autocompassion.
Entraînez-vous à accepter les compliments : Apprenez à accepter les compliments avec un simple “merci” au lieu de les rejeter.
Fixez des limites : Apprenez à dire non et à fixer des limites saines pour prendre soin de votre bien-être.
Réfléchissez à votre journée : Terminez la journée en réfléchissant à trois choses dont vous êtes reconnaissant ou fier.

L’autocompassion peut-elle être utile dans l’éducation des enfants ?

Absolument. Les parents qui pratiquent l’autocompassion ont tendance à être plus patients, plus compréhensifs et moins critiques envers eux-mêmes et leurs enfants. Cela peut créer une atmosphère familiale plus aimante et plus favorable et enseigner aux enfants l’importance de l’autocompassion.

Existe-t-il des livres ou des ressources que vous pouvez recommander pour en savoir plus sur l’autocompassion ?

“Autocompassion : The Path to Inner Strength and Well-Being” de Kristin Neff.
“The Mindful Self-Compassion Workbook” de Kristin Neff et Christopher Germer.
“Daring Greatly” de Brené Brown.
Ces livres fournissent des informations précieuses et des outils pratiques pour cultiver l’autocompassion dans votre vie.

Développer l’autocompassion : Pas à pas

Développer l’autocompassion est un processus important pour promouvoir la santé mentale et le bien-être. Voici un guide étape par étape pour vous aider à entamer le voyage vers une plus grande auto-compassion, à la fois pour vous-même et pour soutenir les autres.

1. Comprendre ce que signifie l’autocompassion

L’autocompassion est la capacité d’être gentil et compréhensif envers soi-même dans les moments difficiles. Elle consiste à reconnaître ses propres sentiments et besoins sans se juger.

2. Identifier ses propres sentiments

Commencez par reconnaître et accepter vos émotions, car il est important de prendre conscience de votre vie émotionnelle et de vos pensées. Ces émotions peuvent aller de la joie à la tristesse, de la colère à la gratitude. Reconnaître ces émotions est le premier pas vers l’autocompassion.

3. Pratiquer la conscience de soi

Réfléchissez à vos pensées et à vos actions. Prêtez attention à la manière dont vous vous parlez à vous-même. Votre conversation intérieure est-elle critique ou encourageante ? Entraînez-vous à remplacer les pensées négatives par des messages plus positifs et encourageants.

4. Faites preuve de compréhension et de gentillesse

Lorsque vous rencontrez des difficultés, essayez de vous traiter comme vous traiteriez un bon ami. Soyez gentil et compréhensif envers vous-même. Rappelez-vous que tout le monde fait des erreurs et que cela fait partie de l’humanité.

5. Pratiquez l’autocompassion au quotidien

Intégrez dans votre routine quotidienne de petits exercices qui favorisent l’autocompassion. Il peut s’agir simplement de prendre quelques respirations profondes, d’écrire trois choses dont vous êtes reconnaissant ou de consacrer du temps à une activité que vous aimez.

6. Cherchez du soutien si nécessaire

Si vous avez du mal à développer l’autocompassion, n’hésitez pas à demander de l’aide. Il peut s’agir d’amis, de membres de la famille ou de professionnels, tels que des psychologues et des thérapeutes. N’oubliez pas que le fait de demander de l’aide est très puissant.

7. Soyez patient et persévérant

Le développement de l’autocompassion est un processus qui prend du temps car il nécessite de la réflexion et de la perspicacité. Soyez patient avec vous-même et continuez à pratiquer ces étapes, même lorsque cela vous semble difficile.

N’oubliez pas que l’autocompassion n’est pas seulement une technique, c’est un mode de vie. En intégrant ces étapes dans votre vie quotidienne, vous pouvez commencer à construire une base plus solide d’amour de soi et d’acceptation. Si vous avez besoin de soutien dans votre développement ou si vous souhaitez simplement avoir une brève conversation sur la façon de commencer, vous pouvez facilement réserver une séance avec l’un de nos thérapeutes ou psychologues.


Ecrit par Sophia Coulter

Sophia is a registered nurse with experience in inpatient, emergency and community mental health care. She has a passion for providing emergency support for those experiencing mental health crises.